- La foi en D. comprend plusieurs aspects : la foi en D., la foi dans les
Sages, la foi en la Torah, et la foi que l’homme doit avoir en lui-même. - Tous les fondements de la foi se transmettent de maître à élève, par un
enseignement oral. Il n’est possible de l’apprendre que par un
rapprochement physique avec les Sages pour apprendre d’eux. - Les bases de la foi et de la Connaissance, on ne les acquiert que par les
Grands et les Anciens, qui sont les maillons de la Transmission depuis
Moise ; c’est le fondement et le secret de la foi dans les Sages. - Comme tout celui qui veut conduire une voiture doit apprendre d’un
professeur de conduite, de la même façon celui qui veut vivre une vie de paix doit recevoir un enseignement des Justes véritables qui enseignent la foi. - La principale foi dans les Sages est d’avoir foi dans les Sages de sa
génération, et pas seulement dans les Anciens, ainsi qu’il est écrit : « tu n’as pas où aller, si ce n’est vers les Sages de ton époque ». - Un homme qui ne vit pas à l’ombre des Sages, avec une véritable
réflexion sur leurs façons d’agir, ne sort jamais du statut d’« ignorant». - Dans chaque génération se trouvent des Justes véritables, de vrais
enseignants, des hommes de vérité, haïssant la corruption, et craignant le Ciel. - La foi dans les Sages ne signifie pas que les Justes de la génération sont parfaits et qu’il n’y a pas d’erreur chez eux, car la perfection n’appartient qu’à D. La foi dans les Sages implique d’avoir conscience de son faible niveau par rapport à eux, et d’annuler ses propres certitudes face à leur enseignement.
- La réparation de l’ouïe se fait grâce à la foi en les Sages.
- Transmettre la foi en les Sages, c’est la valeur la plus haute dans
l’éducation des enfants. - La foi en soi fait partie de la foi en les Sages.
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